Bien vieillir (prendre soin de soi)
Jean, Johnny, Bill et les autres
Une même énergie : vieillir debout
Quelle semaine.
Le décès de Jean d'Ormesson, l'incarnation du "bien vieillir" : un bon vieux est un d'Ormesson.
Le décès de Johnny Hallyday icône rock, ultra-populaire chez les babyboomers... qui avancent en âge.
On imagine à leurs dires, leur volonté de toujours créer, de remonter sur scène coûte que coûte, qu'ils ont craint l'affaiblissement, la perte d'autonomie fonctionnelle et cognitive.
Ils ont voulu vieillir (mourir) debout... comme le suggère la collection de ces apprentis centenaires, l'association Old'Up, ou comme le proposent ces seniors qui réalisent leurs émissions de TV. Ils étaient surement entourés, aidés, équipés d'aides techniques adaptées, accompagnés y compris sur le plan nutritionnel cette semaine.
Ces stars faisaient partie de ces visages âgés qui s'imposaient sur le petit écran... mais pour qui la question de la fragilité, de la vulnérabilité restaient difficiles.
Pour bousculer le regard sur ces maladies neuro-dégénératives, un malade de Parkinson de 60 ans partira cette semaine des Canaries pour relever le défi de traverser l'Atlantique à la rame.
De son côté, Bill Gates, le richissime fondateur de Microsoft, a annoncé avoir investi 100 millions de dollars de sa fortune personnelle dans la lutte contre la maladie d’Alzheimer, à la veille de sa participation au sommet climat à Paris.
Vieillir debout : c'est la ligne éditoriale d'Agevillage et le titre de mon livre à destination des aidants (dont 2018 serait l'année ?), un axe fort de l'art de vieillir au féminin débattu à Marseille la semaine dernière.
Cette ambition relève d'une énergie individuelle mais aussi collective, sociétale pour maintenir le lien entre les générations notamment (avec la plateforme européenne de service public Toit plus moi par exemple).
Une énergie créatrice qu'incarnaient notamment messieurs d'Ormesson et Hallyday.
Condoléances.
Le décès de Jean d'Ormesson, l'incarnation du "bien vieillir" : un bon vieux est un d'Ormesson.
Le décès de Johnny Hallyday icône rock, ultra-populaire chez les babyboomers... qui avancent en âge.
On imagine à leurs dires, leur volonté de toujours créer, de remonter sur scène coûte que coûte, qu'ils ont craint l'affaiblissement, la perte d'autonomie fonctionnelle et cognitive.
Ils ont voulu vieillir (mourir) debout... comme le suggère la collection de ces apprentis centenaires, l'association Old'Up, ou comme le proposent ces seniors qui réalisent leurs émissions de TV. Ils étaient surement entourés, aidés, équipés d'aides techniques adaptées, accompagnés y compris sur le plan nutritionnel cette semaine.
Ces stars faisaient partie de ces visages âgés qui s'imposaient sur le petit écran... mais pour qui la question de la fragilité, de la vulnérabilité restaient difficiles.
Pour bousculer le regard sur ces maladies neuro-dégénératives, un malade de Parkinson de 60 ans partira cette semaine des Canaries pour relever le défi de traverser l'Atlantique à la rame.
De son côté, Bill Gates, le richissime fondateur de Microsoft, a annoncé avoir investi 100 millions de dollars de sa fortune personnelle dans la lutte contre la maladie d’Alzheimer, à la veille de sa participation au sommet climat à Paris.
Vieillir debout : c'est la ligne éditoriale d'Agevillage et le titre de mon livre à destination des aidants (dont 2018 serait l'année ?), un axe fort de l'art de vieillir au féminin débattu à Marseille la semaine dernière.
Cette ambition relève d'une énergie individuelle mais aussi collective, sociétale pour maintenir le lien entre les générations notamment (avec la plateforme européenne de service public Toit plus moi par exemple).
Une énergie créatrice qu'incarnaient notamment messieurs d'Ormesson et Hallyday.
Condoléances.
