Etude sur les motivations et les freins à l'engagement bénévole des seniors
Créé à l'initiative de l'AVE (Agence pour la Valorisation de l'Engagement), le Groupe de travail pour l'engagement des seniors publie aujourd'hui un vaste sondage sur "l'engagement des seniors de 50 à 65 ans en France".
L'objectif : évaluer et comprendre les freins à l'engagement bénévole des Français.
A l'inverse, 65% des seniors ne souhaitent pas s'investir bénévolement. Ils craignent que cet engagement soit trop contraignant (43%), voire qu'il génère des dépenses (11%). Certains pensent aussi ne pas savoir en quoi ils pourraient être utiles ni quels sont les besoins, preuve s'il en faut de la mauvaise communication entre les associations et la population.
Pour tenter de remédier à cette situation, le groupe de travail pour l'engagement bénévole invite les pouvoirs publics comme les entreprises à créer davantage de passerelles et de sensibilisation aux activités proposées par le monde associatif : sensibilisation des DRH, développement de formations en fn de carrière professionnelles, dans le cadre du DIF, aménagement des deux dernières années de vie professionnelle pour faciliter les projets d'engagement des futurs retraités, proposition de création d'un service civique adapté aux plus de 60 ans, meilleure reconnaissance de l'engagement bénévole et de l'utilité des seniors...
L'objectif : évaluer et comprendre les freins à l'engagement bénévole des Français.
Car malgré leur disponibilité et leur expérience, qui représentent un véritable atout pour l'activité bénévole, seuls 17% des seniors, soit un français sur 6, s'engagent régulièrement dans une association, au moins quelques heures par mois. 35% des non-engagés envisagent toutefois de le faire. A condition qu'ils puissent trouver une association près de chez eux (58%), utiliser leurs compétences professionnelles dans leur activité bénvole (43%), étendre leurs connaissances et leur expérience (29%), et mieux connaître les besoins des associations et les activités proposées (27%).
A l'inverse, 65% des seniors ne souhaitent pas s'investir bénévolement. Ils craignent que cet engagement soit trop contraignant (43%), voire qu'il génère des dépenses (11%). Certains pensent aussi ne pas savoir en quoi ils pourraient être utiles ni quels sont les besoins, preuve s'il en faut de la mauvaise communication entre les associations et la population.
Pour tenter de remédier à cette situation, le groupe de travail pour l'engagement bénévole invite les pouvoirs publics comme les entreprises à créer davantage de passerelles et de sensibilisation aux activités proposées par le monde associatif : sensibilisation des DRH, développement de formations en fn de carrière professionnelles, dans le cadre du DIF, aménagement des deux dernières années de vie professionnelle pour faciliter les projets d'engagement des futurs retraités, proposition de création d'un service civique adapté aux plus de 60 ans, meilleure reconnaissance de l'engagement bénévole et de l'utilité des seniors...
Pour mieux connaître l'AVE : www.ave-engagements.fr