Comprendre les fragilités
Fin de vie : le débat "citoyen" demandé par Hollande démarre
Le débat "citoyen" souhaité par François Hollande sur la fin de vie et l'euthanasie a démarré et devrait aboutir à la mi-décembre à la rédaction d'un "avis", a indiqué vendredi le président du Comité consultatif national d'éthique (CCNE) à l'AFP.
Cette "conférence de citoyens" est constituée d'un groupe d'une vingtaine de personnes représentatives de la population française, choisies par l'institut
de sondages Ifop, lui a expliqué Jean-Claude Ameisen, président du CCNE. Ces personnes vont "réfléchir et dialoguer" à huis clos durant deux week-ends "avec une douzaine de personnalités d'horizons divers" choisies par le CCNE, a indiqué M. Ameisen, confirmant une information diffusée par le quotidien Libération.
Un troisième week-end sera consacré à un dialogue avec des personnalités choisies par le groupe lui-même et un quatrième à la rédaction d'un avis.
Il sera présenté à la presse le 16 décembre.
"Au terme de ce débat il y aura (...) un projet de loi" qui "complètera, améliorera la loi Leonetti (sur la fin de vie, ndlr)", avait alors indiqué le chef de l'Etat. Celui-ci s'était déclaré, durant la campagne présidentielle, favorable à une nouvelle loi sur la fin de vie mais sans jamais utiliser le mot d'euthanasie.
Cette "conférence de citoyens" est constituée d'un groupe d'une vingtaine de personnes représentatives de la population française, choisies par l'institut
de sondages Ifop, lui a expliqué Jean-Claude Ameisen, président du CCNE. Ces personnes vont "réfléchir et dialoguer" à huis clos durant deux week-ends "avec une douzaine de personnalités d'horizons divers" choisies par le CCNE, a indiqué M. Ameisen, confirmant une information diffusée par le quotidien Libération.
Un troisième week-end sera consacré à un dialogue avec des personnalités choisies par le groupe lui-même et un quatrième à la rédaction d'un avis.
Il sera présenté à la presse le 16 décembre.
"Au terme de ce débat il y aura (...) un projet de loi" qui "complètera, améliorera la loi Leonetti (sur la fin de vie, ndlr)", avait alors indiqué le chef de l'Etat. Celui-ci s'était déclaré, durant la campagne présidentielle, favorable à une nouvelle loi sur la fin de vie mais sans jamais utiliser le mot d'euthanasie.