France 5 "In Vivo l'intégrale" : euthanasie l'exemple belge
Le 4 mai prochain sera diffusé à 20h sur France 5 le documentaire In vivo, sur le thème de l'euthanasie en Belgique, pays où cette pratique est dépénalisée depuis 2002. Avec l’accord de deux médecins, des malades peuvent obtenir le droit de mourir, par injection ou par médicament, s’ils répondent aux critères définis par la loi.
Chaque année, 1 400 belges décident ainsi de l’heure de leur mort. En France, leur médecin serait poursuivi pour avoir supprimé une vie. En Belgique, ceux qui pratiquent l’euthanasie estiment qu’ils sont simplement respectueux des droits de leurs patients... Il faut souligner que ce droit concerne aussi des malades qui ne sont pas condamnés à brève échéance, mais dont les souffrances physiques ou psychiques sont inapaisables.
Jean est atteint d’un cancer des poumons, il ne lui reste plus que 6 mois à vivre. Il a refusé les traitements et a demandé « à mourir debout ». Anastasia, gravement handicapée par une chute de cheval ne supporte plus d’être uniquement dans la «survie». Marie-Josée, en fin de vie, attend avec impatience que l’on abrège ses souffrances.
Dans ce "In vivo l’intégrale", les malades évoquent avec calme et simplicité les raisons de leur choix. Les médecins expliquent pourquoi, eux qui ont choisi ce métier pour « guérir », acceptent de donner ce qu’ils considèrent comme « le dernier soin ». Quand la médecine ne peut plus rien pour leurs patients, ils estiment qu’ils n’ont pas le droit de les abandonner.
Diffusés du lundi au vendredi en reportages de 7’ dans le Magazine de la santé, les cinq épisodes d’In vivo font ensuite l’objet d’un documentaire de 26’ diffusé le dimanche à 20.00 : « In vivo,l’intégrale ».
Pour en savoir plus
Chaque année, 1 400 belges décident ainsi de l’heure de leur mort. En France, leur médecin serait poursuivi pour avoir supprimé une vie. En Belgique, ceux qui pratiquent l’euthanasie estiment qu’ils sont simplement respectueux des droits de leurs patients... Il faut souligner que ce droit concerne aussi des malades qui ne sont pas condamnés à brève échéance, mais dont les souffrances physiques ou psychiques sont inapaisables.
Jean est atteint d’un cancer des poumons, il ne lui reste plus que 6 mois à vivre. Il a refusé les traitements et a demandé « à mourir debout ». Anastasia, gravement handicapée par une chute de cheval ne supporte plus d’être uniquement dans la «survie». Marie-Josée, en fin de vie, attend avec impatience que l’on abrège ses souffrances.
Dans ce "In vivo l’intégrale", les malades évoquent avec calme et simplicité les raisons de leur choix. Les médecins expliquent pourquoi, eux qui ont choisi ce métier pour « guérir », acceptent de donner ce qu’ils considèrent comme « le dernier soin ». Quand la médecine ne peut plus rien pour leurs patients, ils estiment qu’ils n’ont pas le droit de les abandonner.
Diffusés du lundi au vendredi en reportages de 7’ dans le Magazine de la santé, les cinq épisodes d’In vivo font ensuite l’objet d’un documentaire de 26’ diffusé le dimanche à 20.00 : « In vivo,l’intégrale ».
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