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Consommation de poisson : pas plus de deux portions par semaine et surtout pas n'importe lesquelles

Auteur Rédaction

Temps de lecture 1 min

Date de publication 07/04/2015

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Le sujet n'est pas nouveau. Mais il a de quoi inquiéter sur l'état de notre planète et la qualité de l'alimentation proposée aux populations actuelles et futures.

L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) recommande de ne pas manger plus de deux portions de poissons par semaine, afin de limiter les risques de surexposition aux contaminants chimiques. Elle conseille également de diversifier les poissons et leur origine.

Mais lorsqu'on entre dans le détail, on ne sait plus très bien quoi "avaler" car les poissons sont soumis à des polluants de l'environnement dont les dioxines, les PCB ou le méthyl-mercure. On trouve principalement les PCB et dioxines dans des poissons d'eau douce bio-accumulateurs (l'anguille, barbeau, brème, carpe, silure), et le méthyl-mercure dans les poissons prédateurs sauvages (baudroie, bar, dorade, thon...) ou arrivant en fin de chaîne alimentaire (espadon, marlin, siki, requin et lamproie).

Aujourd'hui la toxicité du saumon d'élevage norvégien est relancée. Il contiendrait toujours des produits toxiques responsables d'hyperactivité, de perturbations endocriniennes, de cancers et ayant des effets sur le cerveau. Il est donc essentiel de bien regarder l'étiquetage alimentaire et de préférer les produits bio. Notamment pour les personnes fragiles.
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