Campagne gouvernementale sur l'accessibilité, avec "Plus belle la vie"
Une campagne télé est lancée lundi 7 septembre par le gouvernement, en partenariat avec France Télévisions, et la série « Plus belle la vie » sur le handicap et les mesures en faveur de l’accessibilité.
C’est le service d’information du gouvernement qui a conçu, avec les équipes de ‘PBLV’ ces 20 saynètes d’une minute qui racontent le quotidien de personnes en situation de handicap. Le but ? Que « les mesures en faveur de l’accessibilité ne [soient] plus perçues comme des solutions réservées à des populations particulières ni seulement génératrices de coûts pour la société ». Cette mini-série, appelée « Plus belle la vie : ensemble » sera diffusée sur toutes les chaînes de « France Télévisions », du lundi 7 septembre au dimanche 18 octobre, vers 20h35 (avec sous-titrage et audiodescription).
Des voix discordantes
A l’occasion de cette campagne médiatique, des voix discordantes se sont fait entendre. Le Comité pour le Droit au Travail des Handicapés et l'Égalité des Droits (CDTHED) a ainsi rappelé « son opposition à la loi du 5 août 2015 dans la mesure où elle conduira inévitablement à un gel de l'inaccessibilité actuelle du cadre bâti, de la voirie et des transports ».
C’est le service d’information du gouvernement qui a conçu, avec les équipes de ‘PBLV’ ces 20 saynètes d’une minute qui racontent le quotidien de personnes en situation de handicap. Le but ? Que « les mesures en faveur de l’accessibilité ne [soient] plus perçues comme des solutions réservées à des populations particulières ni seulement génératrices de coûts pour la société ». Cette mini-série, appelée « Plus belle la vie : ensemble » sera diffusée sur toutes les chaînes de « France Télévisions », du lundi 7 septembre au dimanche 18 octobre, vers 20h35 (avec sous-titrage et audiodescription).
Des voix discordantes
A l’occasion de cette campagne médiatique, des voix discordantes se sont fait entendre. Le Comité pour le Droit au Travail des Handicapés et l'Égalité des Droits (CDTHED) a ainsi rappelé « son opposition à la loi du 5 août 2015 dans la mesure où elle conduira inévitablement à un gel de l'inaccessibilité actuelle du cadre bâti, de la voirie et des transports ».