La mort : un sujet tabou quand même abordé dans les familles
Sujet délicat mais incontournable
L’Observatoire de l’âge Viavoice-Harmonie Mutuelle a questionné les personnes âgées de plus de 70 ans sur le tabou de la mort. Ils y pensent mais de manière plus complexe qu'on ne le croit. Plus de sept sur dix estime que « penser que l’on n’est pas éternel est quelque chose de positif », car cela permet de profiter davantage des petits instants de bonheur du quotidien.
La mort est un sujet auquel ils pensent : "souvent" pour 30 %, 45% y pensent "rarement", "jamais" pour 22 %. Cette pensée est plus complexe que lugubre ou morbide. Un tiers est fataliste « c’est inéluctable », « l’on va bien mourir un jour », Près d'un sur cinq est rationnel considérant la mort comme une loi de la vie. Près d'un sur six parle de spiritualité : « aller vers un monde inconnu », vers la « vie éternelle » et « retrouver les siens ».
A peine 21 % des personnes interrogées évoquent spontanément une vision plus triste, liée à la souffrance et à la peur de mourir.
Les seniors interrogés estiment que le sujet est moins tabou dans notre société, on en parle plus. Notamment dans les familles où l'on évoque la mort sur le plan organisationnel et pratique. Ils ne sont qu'en même qu'un bon tiers à ne jamais en parler à leurs enfants. Une majorité aborde la cérémonie souhaitée ou le lieu de sépulture, 25% parlent de la succession. On voit le besoin de partage de valeurs, de transmission.
La mort est un sujet auquel ils pensent : "souvent" pour 30 %, 45% y pensent "rarement", "jamais" pour 22 %. Cette pensée est plus complexe que lugubre ou morbide. Un tiers est fataliste « c’est inéluctable », « l’on va bien mourir un jour », Près d'un sur cinq est rationnel considérant la mort comme une loi de la vie. Près d'un sur six parle de spiritualité : « aller vers un monde inconnu », vers la « vie éternelle » et « retrouver les siens ».
A peine 21 % des personnes interrogées évoquent spontanément une vision plus triste, liée à la souffrance et à la peur de mourir.
Les seniors interrogés estiment que le sujet est moins tabou dans notre société, on en parle plus. Notamment dans les familles où l'on évoque la mort sur le plan organisationnel et pratique. Ils ne sont qu'en même qu'un bon tiers à ne jamais en parler à leurs enfants. Une majorité aborde la cérémonie souhaitée ou le lieu de sépulture, 25% parlent de la succession. On voit le besoin de partage de valeurs, de transmission.