3% des endeuillés ont recours à un service de soutien
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La deuxième journée des soins palliatifs en Ile de France ce 2 décembre a permis aux nombreuses associations mobilisées de rappeler leurs offres d'aides et de soutien quand à peine 3% des personnes endeuillées font appel à elles.
Livres, films, témoignages... Les supports se multiplient pour tenter de venir en aide aux personnes qui accompagnent un proche ainsi qu'aux endeuillés (voir la brochure "Le deuil une histoire de vie").
Comme notre société ne permet plus de repérer ces personnes en souffrance, endeuillées (plus de signes extérieurs comme des vêtements noirs), il est difficile à tout à chacun de s'adapter à leur situation, au risque de la taire.
Parler de la personne malade, parler de sa souffrance, permet de ne pas laisser toute la place à la douleur. Sachant qu'il vaut mieux parler à des bénévoles sensibilisés, formés et supervisés par les associations dédiées. Sinon le décès notamment peut envahir tout le psychisme. On étouffe.
Elles organisent des accueils, une écoute active, bienveillante, soutenante individuelle ou collective (groupes de paroles) pour donner la possibilité de reconnaître, valider et exprimer ses émotions. Elles proposent aussi des rencontres, conférences, documentations, conseils dans les démarches jusque l'orientation vers un professionnel ou une structure adaptée lorsque cela est nécessaire (prise en charge psychothérapeutique par un psychologue ou psychiatre).
Groupes de parole, soutiens individuels, entraides en ligne
Livres, films, témoignages... Les supports se multiplient pour tenter de venir en aide aux personnes qui accompagnent un proche ainsi qu'aux endeuillés (voir la brochure "Le deuil une histoire de vie").
Comme notre société ne permet plus de repérer ces personnes en souffrance, endeuillées (plus de signes extérieurs comme des vêtements noirs), il est difficile à tout à chacun de s'adapter à leur situation, au risque de la taire.
Or parler à quelqu'un qui est passé par là, ça aide concrètement, souligne un bénévole, formé
Parler de la personne malade, parler de sa souffrance, permet de ne pas laisser toute la place à la douleur. Sachant qu'il vaut mieux parler à des bénévoles sensibilisés, formés et supervisés par les associations dédiées. Sinon le décès notamment peut envahir tout le psychisme. On étouffe.
Que proposent les associations ?
Elles organisent des accueils, une écoute active, bienveillante, soutenante individuelle ou collective (groupes de paroles) pour donner la possibilité de reconnaître, valider et exprimer ses émotions. Elles proposent aussi des rencontres, conférences, documentations, conseils dans les démarches jusque l'orientation vers un professionnel ou une structure adaptée lorsque cela est nécessaire (prise en charge psychothérapeutique par un psychologue ou psychiatre).
Ressources associatives
- Association des bénévoles de la Maison Médicale Jeanne Garnier, ASP fondatrice, Jalmalv, Empreintes-Vivre son deuil, Les petits frères des pauvres Rivages...
- Retrouvez tous les associations d'aides et de soutiens sur l'annuaire du site de la SFAP : société française de soins palliatifs.
- Autres sources : collectif francilien des accompagnants bénévoles en soins palliatifs et deuil : campagne "On meurt encore mal en France", Fondation Ocirp pour les endeuillés