Bien vieillir (prendre soin de soi)
Comment vivre en n'étant qu'une charge ?
Combattre l’âgisme
Que ce soit les personnes concernées dans le manifeste pour une société bienveillante,
Que ce soit des éléments de l'avis du CCNE (Comité consultatif national d'éthique) sur les retards de notre société âgiste,
Ils nous invitent à nous interroger sur le regard que l'on porte aux plus âgés d'entre nous.
Comment vivre, grandir, vieillir, si l'on ne se sent pas montrable, quand on ne sent que comme une charge, qu'un problème, un coût, forcément "malade" avant d'être une personne, surmédicalisée, incapable...
N'en jetez plus !
Notre société n'est pas comme au lendemain de la seconde guerre mondiale. A terre.
Elle peut s'adapter à son vieillissement, revoir les modes de financements (le CCNE relance l'idée d'un 5ème risque de Sécurité sociale inventée en 1945, le groupe SOS propose un surloyer solidaire pour les Ehpad), soutenir le plaidoyer pour la santé des aidants, remobiliser les énergies, les projets (mémoires, transmissions, activités sportives comme le karaté), les emplois associés dans toutes les langues (voir le guide bilingue franco-arabe pour les aidants) , rendre les logements plus accessibles...
C'est possible si on considère l'autre qui vieillit comme un pair, un frère, nous demain. Pas comme une charge.
C'est possible si l'on sait regarder le sel de la vie.
Que ce soit des éléments de l'avis du CCNE (Comité consultatif national d'éthique) sur les retards de notre société âgiste,
Ils nous invitent à nous interroger sur le regard que l'on porte aux plus âgés d'entre nous.Comment vivre, grandir, vieillir, si l'on ne se sent pas montrable, quand on ne sent que comme une charge, qu'un problème, un coût, forcément "malade" avant d'être une personne, surmédicalisée, incapable...
N'en jetez plus !
Notre société n'est pas comme au lendemain de la seconde guerre mondiale. A terre.
Elle peut s'adapter à son vieillissement, revoir les modes de financements (le CCNE relance l'idée d'un 5ème risque de Sécurité sociale inventée en 1945, le groupe SOS propose un surloyer solidaire pour les Ehpad), soutenir le plaidoyer pour la santé des aidants, remobiliser les énergies, les projets (mémoires, transmissions, activités sportives comme le karaté), les emplois associés dans toutes les langues (voir le guide bilingue franco-arabe pour les aidants) , rendre les logements plus accessibles...
C'est possible si on considère l'autre qui vieillit comme un pair, un frère, nous demain. Pas comme une charge.
C'est possible si l'on sait regarder le sel de la vie.
