L'Oise et le Doubs expérimentent les propositions de l'ADF
L'Oise, très avancée, a travaillé concrètement avec 2 structures représentant 75% des heures réalisées dans le département. Le processus se révèle compliqué. "Adhérer à la refondation ce n'est pas uniquement tariffer différemment disent les acteurs terrain. La question fondamentale expliquent-il est d'anticiper de aménagmeents de ce qu'est la prestaion à domicile. C'est le contenu même de la prestation qui doit être visité. Le service doit être tariffé en fonction de l'activité réelle.
Le conseil général du Doubs a signé, en juillet dernier, une convention départementale avec neuf structures d'aide à domicile (6 asociations et 3 CCAS). La question de la posture institutionnelle est très importate explique le directeur général du Conseil général. "Le conseil général a intérêt a anmier une co-construction". A partir d'un constat partagé le travail se fait dans un cheminement rigoureux avec les structures et leur fédération. Le département a pu contater, en particulier un écart de 20% entre les heures ouvertes par le plan d'aide t les heures réellement réalisées. Le département met en place la télégestion qui permet de connaître les heures effectivement réalisées. Il est précisé que le calcul de la dotation est fondé sur un nombre d'heure à partir d'un GMP (Gir moyen pondéré) plus le indemnités kilométriques, plus l'estimation de l'isolement de la personne aidée en fonction de l'entourage.
L'objectif est de rendre convergeant aide à domicile et prendre soin. Un travail conjoint, solidaire entre les structures et le département permet d'y parvenir.