Une dame âgée de 93 ans, obligée de rester 6 ans dans son logement pour bénéficier d'une aide à l'amélioration de l'habitat
L'article publié dans Le Canard enchaîné du mercredi 17 avril, et titré "Le supplice de la baignoire", a de quoi faire frémir. Il relate l'histoire de Mémé Simone, une vieille dame de 93 ans, qui habite dans un petit hameau des Deux Sèvres. En octobre 2012, Simone sollicite une aide auprès du Pact de son département pour financer l'installation d'une douche, en remplacement de sa baignoire, jugée trop difficile à enjamber.
L'aide lui est accordée par l'Anah mais la lettre précise que la dame doit s'engager à occuper personnellement le logement pendant 6 ans, sous peine de devoir rembourser les sommes perçues.
Consternée, et dans l'incapacité de s'engager à vivre 6 années de plus, Simone décline l'aide, pour ne pas imposer à ses enfants de devoir rembourser s'il lui arrivait malheur.
Cette situation parait totalement absurde. Une appréciation confirmée par Madame Nahri, chargée de communication au Pactarim, qui corrige l'erreur. L'Anah exige des personnes aidées de s'engager à vivre dans le logement aménagé. cela signifie qu'elle ne doivent pas déménager dans n'importe quelles conditions. Mais bien évidemment certains critères permettent de déroger à cette règle. Le décès de la personne ou son départ en maison de retraite en font bien sûr parties".
Ouf, on a eu peur !
L'aide lui est accordée par l'Anah mais la lettre précise que la dame doit s'engager à occuper personnellement le logement pendant 6 ans, sous peine de devoir rembourser les sommes perçues.
Consternée, et dans l'incapacité de s'engager à vivre 6 années de plus, Simone décline l'aide, pour ne pas imposer à ses enfants de devoir rembourser s'il lui arrivait malheur.
Cette situation parait totalement absurde. Une appréciation confirmée par Madame Nahri, chargée de communication au Pactarim, qui corrige l'erreur. L'Anah exige des personnes aidées de s'engager à vivre dans le logement aménagé. cela signifie qu'elle ne doivent pas déménager dans n'importe quelles conditions. Mais bien évidemment certains critères permettent de déroger à cette règle. Le décès de la personne ou son départ en maison de retraite en font bien sûr parties".
Ouf, on a eu peur !