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Etre aidant, être aidé

Temps de vie, initiatives : aidants, à vous de jouer

Auteur Raphaëlle Murignieux

Temps de lecture 1 min

Date de publication 27/03/2023

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Il est encore temps de vous exprimer sur l’articulation des temps de vie (vie de famille, vie d’aidant, vie professionnelle, vie sociale…) pour construire le plaidoyer 2023 du collectif Je t’aide, qui invite par ailleurs les aidants qui le souhaitent à devenir jury du prix Initiatives aidants.

Fin février, le collectif, qui porte la journée nationale des aidants du 6 octobre, lançait une consultation nationale en vue de rédiger son plaidoyer 2023, consacré cette année à l’articulation des temps de vie.

Plus de 700 aidantes et aidants ont d’ores et déjà répondu, indique l’association, qui vise les 1000 réponses. Dans cette optique, la consultation qui devait se terminer le 6 mars est prolongée : il est donc toujours possible de répondre au questionnaire en suivant ce lien.

Un prix pour mettre en valeur des solutions concrètes pour les aidants

Depuis 2018, le collectif organise par ailleurs le Prix initiatives aidants, afin de récompenser des structures qui développent des solutions concrètes pour les aidants.

Cette année, cinq structures seront sélectionnées dans les catégories répit, information, emploi, soutien et santé. Les lauréats recevront un prix de 4 000 euros.

Les aidants souhaitant faire partie du jury peuvent candidater jusqu’au 28 avril.

L’occasion de contribuer au développement et à la mise en valeur de nombreuses initiatives pour les aidants, de mettre son expertise au service d’une société plus égalitaire et plus juste, mais aussi de faire de nouvelles rencontres.

En savoir plus

Des aidants qui pourraient venir à manquer en 2030 ?

Une autre façon de s’exprimer, de faire entendre sa voix, alors que les aidants devraient être de moins au moins nombreux, proportionnellement au nombre de personnes en perte d’autonomie, prévoit un rapport de l’Institut des politiques publiques (IPP) paru en mars.

En cause, la baisse du nombre moyen d’enfants par femme, mais aussi la baisse du nombre de personnes mariées ou pacsée, même s’il n’est pas possible de savoir « si cette baisse sera compensée par une hausse de la proportion de personnes en union libre aux âges élevés », précisent les autrices du rapport.

Ce sont surtout les hommes âgés qui risquent de n’avoir personne pour les aider, car ils seraient de plus en plus nombreux à n’avoir ni conjoint ni enfant.

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