Bien vieillir (prendre soin de soi)
A Hagondange on mange tous ensemble... avec les doigts !
Bal de l’été
V
ivre avec la maladie d'Alzheimer, c'est aussi aider la personne malade à manger... parfois avec les doigts quand elle ne reconnaît plus les couverts.
France Alzheimer Moselle a eu l'idée d'ouvrir son bal de l'été et de partager tout un repas avec les doigts. Ce "manger main" ou "finger food" demande de décliner un repas "facile à manger" , sans sauces, avec des canapés, toasts, tartelettes, feuilletés, salés, sucrés.
C'est amusant, ludique et adapté à tous les âges, du petit-enfant à la personne malade.
L'association attend ainsi une cinquantaine de participants à son bal de l'été 2016.
Rendez-vous le dimanche 5 juin à la salle Mozart de Hagondange pour un repas dansant.
Réservations, avant le 1er juin au 03 87 50 46 40.
Tarif : 30 € par personne.
Ailleurs en France, l'association "Sans fourchette®" décline cette idée de repas avec les mains, en partenariat avec des écoles hôtelières. L'enjeu est de dédramatiser la maladie d'Alzheimer, de réfléchir à des environnements favorables à l'inclusion des personnes malades dans la vie de la cité, comme au restaurant.
ivre avec la maladie d'Alzheimer, c'est aussi aider la personne malade à manger... parfois avec les doigts quand elle ne reconnaît plus les couverts.France Alzheimer Moselle a eu l'idée d'ouvrir son bal de l'été et de partager tout un repas avec les doigts. Ce "manger main" ou "finger food" demande de décliner un repas "facile à manger" , sans sauces, avec des canapés, toasts, tartelettes, feuilletés, salés, sucrés.
C'est amusant, ludique et adapté à tous les âges, du petit-enfant à la personne malade.
L'association attend ainsi une cinquantaine de participants à son bal de l'été 2016.
Rendez-vous le dimanche 5 juin à la salle Mozart de Hagondange pour un repas dansant.
Réservations, avant le 1er juin au 03 87 50 46 40.
Tarif : 30 € par personne.
Ailleurs en France, l'association "Sans fourchette®" décline cette idée de repas avec les mains, en partenariat avec des écoles hôtelières. L'enjeu est de dédramatiser la maladie d'Alzheimer, de réfléchir à des environnements favorables à l'inclusion des personnes malades dans la vie de la cité, comme au restaurant.
